À Saint-Étienne-du-Bois
En face du camping !
Entrée payante
Gratuit pour les enfants
La Maison de Pays en Bresse est un ecomusée présentant le patrimoine rural bressan du 15e siècle à 1900 regroupé dans des maisons typiques.
Embarquez 1h30, pour un vrai voyage en Bresse d'autrefois sur un site riche et unique, pour un vrai dépaysement.
Une superficie de 2000m² d'expositions répartis dans 5 bâtiments, sur un terrain de 2 ha, avec 45 thèmes différents abordés pour découvrir ou retrouver la vie d'autrefois en Bresse :
Dans un bois peuplé d'arbres centenaires, 115 jeux vous invitent à passer de branche en branche grâce à 9 parcours aventure de difficultés progressives.
Les tyroliennes sont nombreuses, vous offrant une très agréable glisse entre les feuillages, sur plus de 1200 m cumulés.
Dans ce site tranquille, sous les chênes, immenses et majesteux, venez profiter des plaisirs de l'accrobranche entre amis ou en famille (dès 2 ans).
La forêt de Seillon a nombreuses activités de plein air sur le même site: chemins à parcourir à pied, à VTT ou à cheval; parcours de santé, aire de jeux pour enfants, espaces de pique-nique. Une idée de balade à faire en famille! Petit troglo et le Vieux Chêne emmènent les enfants sur les chemins pour découvrir le milieu forestier: histoire, faune, flore, gestion de la forêt domaniale de Seillon. Autant de thèmes qui sont abordés sous un angle ludique au fil d'un parcours balisé de 1,5 km.
Aux portes de l'agglomération de Bourg-en-Bresse, cette forêt domaniale créée par les Chartreux, s'étend sur près de 600 hectares.
Zone naturelle d'exception avec des arbres centenaires, cette chênaie héberge une faune et une flore variées.
Différents équipements de loisirs y sont aménagés pour répondre à toutes les envies : un parcours de santé, un sentier pédagogique "découverte de la forêt" pour les enfants et familles, des sentiers pédestres, équestres, VTT, un sentier Randocroquis pour le dessin et la photographie, des espaces de jeux rénovés et des aires de pique-nique, un étang de pêche.
Une voie verte relie la forêt à la base de loisirs nautiques de Bouvent... de quoi se mettre au vert !
C'est l'une des forêts les plus productives du quart sud-est de la France et elle a servi à la réalisation des charpentes de l'église de Brou et des pilotis soutenant Notre-Dame. Elle est gérée par l'Office National des Forêts.
À Bourg-en-Bresse
Chemin de Curtafray
À 15 minutes en voiture
Accès payant de mai à septembre
Gratuit le reste de l'année
Ce parc de loisirs de 56 ha est un véritable poumon vert aux portes du centre-ville où de nombreuses activités sont possibles :
À Bourg-en-Bresse
63 Boulevard de Brou
À 15 minutes en voiture
Entrée payante
Gratuit pour les enfants
L'endroit est magique et la visite guidée vaut le détour ! Prévoyez une demi-journée car le monastère royal de Brou recèle des trésors : église somptueusement ornée, cloîtres aux styles variés, superbes salles voûtées d'ogives, grands jardins alentour, musée aux riches collections...
Brou reçoit quelque 75 000 visiteurs par an et a donné à Bourg-en-Bresse une dimension internationale.
C'est à une belle histoire d'amour que le Monastère royal de Brou doit sa naissance. Marguerite d'Autriche, veuve inconsolable du duc de Savoie, érige ce joyau du gothique flamboyant pour abriter trois somptueux tombeaux : ceux de Philibert le Beau, de sa mère et le sien propre. Édifié de 1506 à 1512, le monastère loge jusqu'à la Révolution, une vingtaine de moines augustins chargés de prier pour les princes enterrés à Brou. Il comprend plus de 4000 m2 de planchers sur plusieurs étages.
L'église est édifiée de 1513 à 1532. Sa haute toiture de tuiles vernissées et colorées, ses fastueux vitraux historiés, son jubé orné de dentelles de pierre, sa chapelle, ses tombeaux, ses retables, statues et autres splendeurs décoratives en font un exceptionnel musée de sculpture flamande du 16e siècle...
Le monastère a été élu Monument préféré des Français en 2014 devançant ainsi des monuments connus tels que la cathédrale de Strasbourg, le Mont Saint -Michel, le château de Versailles ou le palais des Papes à Avignon.
Au début du 20ème siècle, on comptait encore 150 poypes dans l’Ain, qui sont de moins en moins perceptibles dans le paysage, suite à la modernisation de l’environnement. Les poypes semblent
correspondre à des « Mottes Castrales » qui sont des buttes de terre souvent artificielles qui accueillent en leur sommet un habitat médiéval à fonction défensive.
La poype des Fées de Buellas est une reconstitution historique. L’originale a été détruite par son propriétaire en 1786. Des débris de tuiles et des fragments de marmite auraient été
découverts, laissant indiquer que quelqu’un y aurait vécu. Les habitants du pays évoquaient la présence de fées, d’où son nom.
La poype a été reconstruite de la manière la plus vraisemblable possible à quelques hectomètres de l’emplacement de l’ouvrage historique. Elle se situe sur la D45 de Buellas à Montcet, à 900 mètres de Buellas à la hauteur du pont sur la rivière le Vieux Jonc. Un petit emplacement avec un panneau d’information est situé sur la gauche.
Le jardin des Quinconces est le plus vaste de la ville, agencé dans le style pur des jardins à la française : arbustes taillés, allées rectilignes, parterres de fleurs symétriques formant des motifs.
Le square des Quinconces est composé d'un jardin et d'un kiosque à musique installé en 1895 qui lui permet d'accueillir concerts et autres manifestations en plein air. Il est par ailleurs équipé de jeux pour enfants, tandis qu'un bas-relief évoque la mémoire d'Edgar Quinet, philosophe et écrivain burgien. Des arbres imposants et variés façonnent un bel écrin : tilleuls, hêtres, marronniers, noyers d’Amérique, ailantes, sans oublier trois platanes plus que centenaires qui sont reconnaissables à leur tronc évasé en forme de pied d’éléphant de plus de trois mètres de circonférence !
À droite du kiosque, vous ne pouvez manquer le hêtre pleureur planté au début du siècle dernier, particulièrement remarquable en pleine feuillaison. Il dissimule légèrement le mémorial en forme de proue de bateau élevé à la mémoire des morts des guerres coloniales d’Afrique du Nord.